En ce moment il n’y aucune raison de supporter le foot italien. Après les graves incidents qui ont eu lieu ce week-end autour des stades transalpins, le ballon rond italien est en deuil. La faute à une énième rixe de supporters, qui a entraîné la mort d’un fan de la Lazio de Rome, suite à une bavure policière (selon les premiers éléments de l’enquête). La mort de Gabriele Sandri, tifosi de la Lazio de Rome, a entraîné une vague de violences sur tout les stades italiens, où plusieurs matches ont été annulés.
Cet épisode vient encore plus ternir l’image du foot italien, qui avait déjà été noircie par deux évènements lors des deux dernières saisons : L’affaire des matches truqués qui avait mis au tapis tout les cadors du championnat italien (excepté l’Inter de Milan), et qui avait mené à la rétrogradation de la Juventus de Turin en deuxième division, à la fin de la saison 2005/2006.
La mort d’un policier la saison dernière, en Sicile, venu s’interposer dans une bagarre entre des supporters de Catane et Palerme, avait déjà tiré la sonnette d’alarme sur le problème de la violence des hooligans italiens.
Dans ce contexte extra-sportif agité, la squadra azura joue samedi un match capital dans l’optique de la qualification à l’Euro 2008.
Henry en free style
Le meilleur buteur de l’histoire des bleus a déclaré hier : « Même si cela peut sembler étrange, nous allons soutenir les italiens (face à l’Ecosse). Je croise les doigts pour l’Italie même si cela peut paraître un peu bizarre », a déclaré hier Thierry Henry dans un entretien au magazine sportif allemand Kicker.
Une déclaration qui à prime abord peut paraître surprenante, tant on se rappelle de l’intensité des duels qui avaient opposé titi aux défenseurs italiens en finale de la coupe du monde 2006. La partie avait débuté par un coup de coude du capitaine italien Fabio Canavarro sur le meilleur buteur de l’histoire de l’équipe de France, qui était resté groggy pendant plusieurs minutes.
Seulement voila, les Italiens jouent samedi face à l’Ecosse, et une victoire des hommes de Roberto Donadoni qualifierait les bleus pour le championnat d’Europe des nations, avant même son match de mercredi à Kiev. Un tout autre résultat qu’une victoire italienne mettrait les bleus dans l’obligation d'aller chercher un point contre l’Ukraine. Aussi, un Euro sans le champion du monde ferait désordre, et diminuerait du niveau et de l’attrait de cette compétition.
Le soutien de titi est donc compréhensible. Mais pour 90 minutes… pas plus !
Cet épisode vient encore plus ternir l’image du foot italien, qui avait déjà été noircie par deux évènements lors des deux dernières saisons : L’affaire des matches truqués qui avait mis au tapis tout les cadors du championnat italien (excepté l’Inter de Milan), et qui avait mené à la rétrogradation de la Juventus de Turin en deuxième division, à la fin de la saison 2005/2006.
La mort d’un policier la saison dernière, en Sicile, venu s’interposer dans une bagarre entre des supporters de Catane et Palerme, avait déjà tiré la sonnette d’alarme sur le problème de la violence des hooligans italiens.
Dans ce contexte extra-sportif agité, la squadra azura joue samedi un match capital dans l’optique de la qualification à l’Euro 2008.
Henry en free style
Le meilleur buteur de l’histoire des bleus a déclaré hier : « Même si cela peut sembler étrange, nous allons soutenir les italiens (face à l’Ecosse). Je croise les doigts pour l’Italie même si cela peut paraître un peu bizarre », a déclaré hier Thierry Henry dans un entretien au magazine sportif allemand Kicker.
Une déclaration qui à prime abord peut paraître surprenante, tant on se rappelle de l’intensité des duels qui avaient opposé titi aux défenseurs italiens en finale de la coupe du monde 2006. La partie avait débuté par un coup de coude du capitaine italien Fabio Canavarro sur le meilleur buteur de l’histoire de l’équipe de France, qui était resté groggy pendant plusieurs minutes.
Seulement voila, les Italiens jouent samedi face à l’Ecosse, et une victoire des hommes de Roberto Donadoni qualifierait les bleus pour le championnat d’Europe des nations, avant même son match de mercredi à Kiev. Un tout autre résultat qu’une victoire italienne mettrait les bleus dans l’obligation d'aller chercher un point contre l’Ukraine. Aussi, un Euro sans le champion du monde ferait désordre, et diminuerait du niveau et de l’attrait de cette compétition.
Le soutien de titi est donc compréhensible. Mais pour 90 minutes… pas plus !